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  Sortie du 14 mai

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mamuse
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mamuse


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MessageSujet: Sortie du 14 mai    Sortie du 14 mai Icon_minitimeLun 20 Juin - 12:19

Gigue le Ven 3 Juin 2011 - 15:36

Rappelons que :
• Suite à une malchance relativement importante, Charal perdit l’essentiel de sa jambe « de jour »
• Ce dernier et son collègue ogre, Boso, constatèrent, suite à une percée héroïque dans « le mur de vers », que ces derniers étaient plus gros et plus poilus au centre du trou,
• Pagan, torturé et assommé à de nombreuses reprises finit par fausser compagnie à Eden. Celui-ci le poursuivit jusqu’à feu l’auberge de la Licorne, désormais QG de la milice. Il eut alors la très bonne idée de se déguiser en vieille farfadette (ses jambes étant fraîchement épilées, le grimage était parfait).
• Gigue eu le bonheur de participer à la fabrication de son bâton pour en réduire le prix. Ses mains n’eurent pas autant de plaisir à cet atelier, mais comme on dit, c’est le métier qui rentre…
• Philoctète proposa bien une esquisse pour la façade du peintre qui ne fût pas tout de suite convaincu. Finalement, un compromis trouvé, le minotaure se mit à peindre, peindre et peindre et repeindre… de longues journées.
Voici donc dans cette histoire, la suite de l’épopée qui se déroula sur fond de comédie dramatique sombre, en ces temps et cette ville.<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>

Oyez, oyez ! Tout est dit. Place à l’aventure

Cadage se trouve dans la taverne « chez Glou ». De son œil professionnel, elle fait le tour de l’établissement. Tout est en ordre. Elle se rappelle que Glou, son protecteur et patron à laissé deux grosses brutes emporter des chopes. Va savoir pourquoi. Elle décide de faire l’inventaire des stocks.
Pendant ce temps, Glou se réveille avec un mal de tête… dans le lit de Cadage ! Diantre, aurait-il oublié quelque souvenir croustillant ? Et puis que fait-il ici ??? Ha oui ! Il cherche des chopes, et comme il soupçonne Cadage, il se met à fouiller sa chambre. Quelques vêtements, des draps et de la poussière. Rien d’autre.
Entre alors dans l’auberge Philoctète, le pelage plein de peinture. Il veut se laver, mais pour cela, notre minotaure pragmatique se rend compte qu’il lui faut de l’eau. Il vide donc un tonneau à moitié plein de bière en le buvant, bien sur.
Glou descend et tombe sur la scène. Il s’énerve, mais Philoctète déjà bien saoul n’en a que faire. Le nain attrape une chope et la jette sur Phil… qu’il rate. Et une chope de moins ! Sur ce, Cadage lui dit (à Glou) qu’elle aimerait bien qu’il arrête de la tripoter quand elle dort. Humilié, en colère, et décidemment frustré de ne pas se souvenir de ce qu’il s’est passé sous les draps de Cadage, Glou sort en grommelant.

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Pendant ce temps, dans une rue, Zac débouche en courant. Derrière lui une voix grave de nain tonne : « Il est où ?! ». Malheureusement, le satyre ne peut plus compter sur les très bonnes relations qu’il a eu avec la femme du petit bonhomme à la hache facile pour arranger les choses. Il fuit. Dans sa précipitation, il confond Glou, nain mal charpenté qui arrive en face, avec le nain cocu. En dernier recours, il se précipite dans la première taverne qu’il aperçoit.
Cadage et Philoctète voient entrer en trombe un satyre…
« C’est fermé ! dit Cadage. On n’ouvre que le soir !
Pas de réaction de Zac.
-Heu je peux le sortir, là. Dit Philoctète dont la silhouette menaçante et l’haleine éthylique se rapprochent de Zac.
-Heu… je viens régler une histoire de tonneau avec votre patron, un truc important… Votre patron m’a embauché pour ça contre un hébergement gratuit. Zac transpire.
-HAAA ! Alors viens boire un coup ! L’invite Phil. »
Sur ce, il ouvre un nouveau tonneau, histoire de lui régler son compte en avance… Il en faut pour saouler une vache ! Glou arrive. Et la goutte d’eau fait déborder le vase. Voyant son fidèle et précieux Philoctète qui vide la boutique avec un satyre inconnu, il sort de ses gons et sauterait sur Philoctète si Cadage ne s’était pas mise à jouer une musique ensorcelée plongeant le nain dans une extase bienheureuse. L’envie de donner des coups se transforme presque en envie de câlins. Glou accepte volontiers la chope que lui tend le minotaure. En bon nain, Glou est vite ivre…

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De son côté, Boso se rend au QG de la milice, l’auberge de la Licorne, voir Charal convalescent.
« Charal, mon pauvre ami…
-J’ai l’impression qu’il me manque un bout de quelque chose.
-Oui, un bout de jambe…
-Ha !...
-L’infirmier va bien te proposer quelque chose… »
Effectivement, l’infirmier propose des béquilles ou un fauteuil roulant au minotaure estropié. Ce dernier choisit les béquilles. Visiblement, il est plus à l’aise avec une hache. L’adaptation sera difficile, et les risques de chute seront important…
Boso discute avec le chef qui lui donne carte blanche pour se débarrasser des vers définitivement. Boso décrit alors ce qu’il a vu au centre du trou par rapport aux vers. Au fil du récit Charal se décompose… il repense à sa belle jambe, et lutte pour ne pas tomber dans les vapes.
Finalement, il comprend qu’il va devoir retourner au turbin.
« Tu es sur que ça va aller ? S’inquiète le gentil ogre.
-Boaf… une jambe de plus ou une de moins, au pire je finirais cul-de-jatte… dit avec philosophie Charal.
-On peut aller voir le chef et demander du repos, non ?
-On peut faire du zèle, non ? rétorque le minotaure diminué mais bien vaillant. »

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Pagan, fraîchement échappé de 2 jours de tortures, fait son rapport au chef de la milice :
« J’ai été torturé durant 2 jours, Eden est dangereux !
-Vous avez des preuves ? demande le chef.
-Mes blessures ! affirme Pagan qui montre ses poignées.
-Bof, y’a pas grand-chose… »
Pagan s’énerve. C’en est trop ! Non mais qu’est-ce qu’il veut ce… et il lui saute dessus. Deux miliciens interviennent et le saisissent, l’attachent et l’emmènent dans la pièce d’à côté où se trouve une petite vieille. A leur entrée, cette dernière à comme un sursaut et va vers la fenêtre regarder le temps qu’il fait… Une certaine tension règne dans la pièce.
Pagan, en rage n’a que faire de la vieille. Par contre, les gardes se demandent ce qu’elle fait ici. D’ailleurs, ils lui posent la question.
«C’est pas l’hôpital ici ? Mon petit neveu…
-Oh non ! On va vous y accompagner. » Lui lance un milicien compatissant.
La situation est embarrassante. Eden ne doit pas se faire reconnaître, mais il doit aussi réduire Pagan au silence s’il ne veut pas avoir de problèmes. De plus Eden AIME la milice…
« Oh ! il m’énerve celui-là ! » dit la vieille farfadette en passant devant Pagan.
Pagan ne le reconnaît toujours pas (ouf !).
« Mais ma p’tite Dame, ne vouliez-vous pas voir le chef, plutôt ??? (Cf. CR précédent)
-Heu… oui-oui… répond Eden un peu perdu. Menez-moi à votre chef ! »
Un milicien lui tend le bras. Eden est troublé. Tout mais pas ça. Beurk ! C’est alors que Pagan le reconnait ;
« C’EST LUI QUI M’A TORTURÉ !!!!! » hurle-t-il !
Un garde attrape le bras de la vieille louche.
« Mais c’est lui (Pagan) qui raconte n’importe quoi ! » tente de se défendre Eden.
Pagan, sous la colère et au souvenir de ses souffrances emploie toute son énergie à convaincre les miliciens. Ceux-ci regardent Eden d’un œil de plus en plus mauvais.
Le chef arrive. Eden se décompose et avoue tout ce qui lui passe par la tête ;
« J’avais pas le choix, il me suivait alors je l’ai torturé. Je me sentais menacé. Sur ce, il perd sa perruque.
-J’ai peur des miliciens… continue la farfadette
-Ha ouais ? Pourquoi ?
-Heu… ch’sais pas… bafouille Eden. J’l’ai juste torturé… je voulais juste savoir ce qui se passait, et puis bah… on s’est retrouvé ici ! »
Boso et Charal arrivent en haut de l’escalier du QG de la milice. Charal passe devant et entreprend la dure ascension de ce qui paraît une montagne pour lui depuis qu’il marche en béquilles. Le minotaure se hisse avec peine, mais tient le coup. Arrive la dernière marche…. Et c’est le drame ! Heureusement que Boso est un ogre (gentil, mais solide…). Il avait prévu le coup et attendait de pied ferme la chute du bovidé. Sans lui, il aurait sûrement fallu faire des réparations importantes à l’escalier…
Passé ce moment d’émotion, les 2 miliciens de choc voient des collègues et leur chef autour de Pagan attaché, mais toujours vivant, et une petite vieille maîtrisée comme si elle était un dangereux malfaiteur.
« Mais qu’est-ce qui se passe ? demande Boso.
Un milicien lui résume la situation.
-Surveille la vieille, je vais libérer Pagan, dit-il à Charal. »
Boso interpelle Pagan encore ligoté.
« T’étais où et pourquoi t’as sauté sur le chef ??? Et pis t’as quoi comme infos (j’aime pas les petits…) ???
-Et qui t’a demandé pour qui tu travailles ? Boso fronce les sourcils.
-C’est lui ! Pagan tend le menton vers Eden.
- Si tu mens, t’es mort ! Grrr » Pagan se fait petit sur sa chaise…
Boso s’adresse au chef de la milice ;
« Le farfadet est un imposteur, il faut l’arrêter ! Il détient des informations capitales sur le groupe qu’on surveille ! »
Eden vient de donner un coup de pied dans l’unique jambe valide de Charal qui a tenté, auparavant de donner un coup de béquille à Eden. Décidemment, un minotaure à du mal à maîtriser plus de 2 jambes… Pour se venger, Charal à collé sa plaie à Eden qui trouve ça franchement dégueulasse, mais bon, entre les zombis et les goules, il en a vu d’autres !
Bref, Boso va secouer la vieille « pour voir » et pour remettre un peu d’ordre et de sérieux dans les évènements (d’après la vision ogre) :
« J’aime pas les petits !
-Tant pis » lui concède Eden qui se retrouve ligoté.
Boso retourne vers le chef pour faire détacher Pagan ;
« Ca fait 2 jours qu’il est torturé !
-Et c’est seulement maintenant que vous le dites !? Ha… les jeunes » conclu le gentil et compréhensif chef de milice…
Charal se redresse et suit le cortège qui accompagne Eden vers la pièce qui lui servira de cellule. Eden, dans une mauvaise posture se tord avec peine, se contorsionne et d’un geste avisé ajuste un glaviot sous l’œil droit du minotaure. Quelle teigne ce farfadet ! « Hé bein bravo dit ce dernier, tu vas voir ! C’est pour ton bien ! » Alors que Boso qui tien Eden le colle violemment contre le mur, Charal lui envoie un coup de béquille qui aurait été parfait si il avait été maîtrisé… La béquille au bout saillant laboure le dos du farfadet et le met dans un bien sale état (PV-3, et agilité*0.5).
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Revenons vers les amis de la taverne. Philoctète parvient à trouver la rivière malgré son état assez lamentable. Plus pragmatique que lorsqu’il était à jeun, il se dit que se laver dans la rivière sera plus simple. Il pose donc ses deux tonneaux et plonge. Et cela lui fait grand bien ! Alors qu’il profite de la fraicheur de l’onde, il s’aperçoit qu’un tonneau commence gentiment à s’en aller. Promptement (du moins tout autant qu’il le peut), il saute sur le tonneau, l’attrape, le soulève et le secoue. Dedans, un quelque chose fait « tonk tink tonk tank pouf ». Le « pouf », c’est le bruit d’un lutin qui tombe par terre. Le minotaure le saisi, et se dit qu’il a trouvé un nouveau copain « Comment tu t’appelles ? ». Rien. Il remet donc le lutin dans le tonneau qu’il prend soin de poser ouverture vers le ciel, et retourne dans l’eau. Pas de chance, l’autre tonneau a disparu. Bof, il s’en fout un peu le Phil. Il semblerait que ses facultés cognitives diminuent de minute en minute. Le premier tonneau commence à trembler pour franchement bouger, et tomber. Dans un ultime effort, Phil réussit à le rattraper, mais le lutin parvient à en sortir en cours comme si il avait un minotaure aux trousses. Ce n’est pas le cas, puisque Philoctète décide de remplir le tonneau d’eau et de rentrer. Il accomplit donc sa tâche et tente de soulever sa charge. Car charge lourde il y a ! Un beuglement retentit au bord de la rivière, et un humanoïde boviforme s’étale lamentablement dans l’eau, tandis qu’un tonneau à ¾ vide s’improvise bateau et part au fil de l’eau. Philoctète se relève, lui court après, mais est pris d’une soif d’eau énorme (tiens donc…). Il boit, donc tant qu’il peut puis s’affale à moitié dans l’eau, et s’endort…

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Cadage, de son côté, se promène. Elle veut voir les vers. Elle rencontre un milicien et engage la conversation.
« Bonjour, ça va ? Y’en a toujours autant ? C’est bizarre !-Ouais, mais l’autre jour, ils ont fait une percée !
-Z’avez une idée de comment on les tue ?
-On les tape…
-Vous avez besoin d’un coup de main ? J’ai un air qui peut développer la colère et la rage…
-Et… c’est dangereux ?
-Eloignez-vous… »
Cadage se met à jouer et cela marche… au top. Le collègue visé par la jeune méduse s’acharne et se déchaîne comme un beau diable. Une vieille rancœur est remontée à la surface de ses souvenirs… Les bouts de vers giclent dans tous les sens, et le milicien effectue une percée remarquable.
Seulement, Cadage saigne des doigts. Il est plus que temps d’arrêter.
« Je vais arrêter là…
-Mais non !
Mais si ! »
Et elle arrête (d’ailleurs, jouer en parlant était en soit un exploit…). Le milicien enragé à tout d’un coup du mal…

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De son côté, Gigue aperçoit quelque chose sous la surface de l’eau, et plonge dans la mer pour se retrouver… la tête dans la fontaine. Il est en apnée et cherche quelque chose… apparemment. C’est qu’il tient drôlement bien le bougre. Alviérine, qui sortait ou arrivait à son hôtel dont le patron devait lui chercher des infos, voit la scène. Toutes affaires cessantes, elle vole au secours de Gigue qui semble finalement ne pas en avoir besoin. Elle lui attrape la tignasse (beurk…) et lui sort le visage de l’onde.
« OH ! GIGUE !
-Hein ? Quoi ? Qu’est-ce que tu fais là ?
-Et toi ??? Mais, qu’est-ce que tu t’es fait aux mains ? »
Alviérine regarde les mains mutilées du vieillard.
« Bah j’ai aidé le menuisier à me fabriquer un bâton ferré… D’ailleurs, t’as pas une idée de où je peux trouver un remède pour soigner ça ?
-Attend… Oui, des baie séchées. Tu les trouveras dans la forêt.
-Mais oui, bien sur ! J’y vais. Dis, tu ne veux pas garder mes brebis pendant ce temps ? »
La lutine lui lance un regard qui contient sa réponse… Pas grave. Alors que Gigue s’éloigne, Alviérine le soigne discrètement à l’aide d’un petit sort de derrière les fagots. Dans 30 min, ce sera bon pour Gigue. Le temps qu’il arrive à la forêt la plus proche…

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Zac, dans l’auberge « chez Glou », réfléchit. 3 femmes à aller voir… Deux maris potentiellement en colère, et deux anciennes amantes qui n’ont pas nécessairement envie de le revoir, si ce n’est pour lui écraser la porte ou ce qui leur passerait sous la main sur le nez. Pire, certainement une, deux, trois ou plein de goules à qui régler leur compte !
Le satyre prend son courage à deux mains et se dirige vers le quartier sombre où il a semé quelques graines…
IL arrive devant une porte connue et tape. Rien. Il retape, mais plus fort. Seau d’eau. Il décide de faire le tour de la demeure, et se rend compte qu’il pourrait passer par les toits… non. Trop risqué.
Il revient devant la porte. Zac aime bien insister. Une voix lui dit qu’elle va appeler la milice. C’était sans compter sur le charme d’un satyre. Après un baratin bien placé sur le bon ton, la porte s’ouvre…
« Je peux entrer ? (quelle perspicacité…) »
Il entre donc, et entend un petit rire dans le couloir. On ne voit pas grand-chose, les volets des pièces atenantes sont clos, et le vestibule est aveugle. Zac commence à discuter, plus pour se rassurer et tenter de repérer son ancienne maitresse (et éventuellement son mari). C’est alors que la porte se ferme violemment et que la femme lui saute dessus, entreprenant de lui arracher ses vêtements. Zac, un peu coi la laisse faire. Il n’a pas l’habitude que les choses se passent dans ce sens… Il tente de réfléchir et… TILT ! Nymphomane=future goule !!!
Aïeaïeaïeaïeaïe ! C’est qu’il est tout nu, maintenant le Zac, et la furie commence à le tripoter. « Stop ! ». Il a les boules… (hé !hé !hé !). Elle est sur lui et se déshabille. C’est alors que notre ami à l’idée de crier et de se faire menaçant. Il tente même de se mutiner, de la retourner et de lui mettre un coup de poing… rien à faire. La charmante dame continue de plus belle. Finalement, Zac parviens à la faire passer dessous, se relève et lui assène un violent coup de sabot. Grand cri de douleur… il a tapé un meuble qui n’est pas en fagot, et lui rend bien son agression. La bougresse s’est relevée et le charge. Mieux vaut l’éviter. Sûr qu’elle n’est plus la charmante femme qu’elle fût. Zac évite donc ce qui aurait pu être un bulldozer et lui lance un croche-pate au passage. Le monstre s’encastre dans un meuble et reste sur le carreau. Le satyre, quelque peu hébailli par les évènements se demande une fois de plus ce qu’il va bien pouvoir faire. Tout d’abord, s’assurer que l’ex-amante se tienne tranquille. Il cherche son arme… mais son amoureuse se relève (bah oui…) et se jette de nouveau sur lui. Heureusement, Zac a remis la main sur son épée et lui en assène un bon coup de plat sur la tête qui la renvoie un moment dans de jolis rêves. Vite, regarder le nombril… Ha… tiens, il fait noir. Le vaillant héros va donc ouvrir les volets. Mais l’amour étant plus fort que tout, la créature qu’il pensait dans les vapes se réveille de nouveau et, les hormones aidant, veut se lancer dans de nouveaux ébats (quelle résistance cette femme !). Cependant, Zac a ouvert les volets. Diantre ! Mais il lui manque des morceaux de peau à la bougresse ! Faisant, alors preuve d’une vivacité qu’on attendait plus, il lui plante sa dague dans la poitrine. La goule s’effondre. Attirés par le bruit, les passants se pressent devant les fenêtres et voient la scène.
« Au meurtre !!! ».
Zac à chaud. Très chaud. Vite, il traine le corps dehors et dit simplement
« Et voilà, j’ai tué une goule ! »
Les gens constate que le cadavre est bien celui d’un démon. Démon, d’ailleurs qui n’entend pas s’arrêter pour une simple dague dans le corps. Bref, la copine de Zac a de nouveau envie de lui faire des bisous, voir même de lui faire mal à ce grand coquin GRRrrrrr ! Zac, pour pimenter le jeu amoureux se met à courir… la goule aussi. Il s’enfuit donc dans une ruelle au bout de laquelle apparaît… le nain jaloux ! Ce dernier, ne voit que l’objet de sa rage devant lui et sort sa hache. Il tente de cueillir le « pied de chèvre » qui esquive le coup (c’est un satyre, tout de même…) : Enfin, esquive, disons que Zac tombe, la hache lui passe au-dessus et se plante dans sa poursuivante. Zac se relève une ixième fois. Le nain lui saute au cou. Pas le temps de régler cette affaire, le satyre fuit sans réfléchir à la demi-portion qui lui fait office de tique. Autour, tout le monde court et crie. Quelle animation !
Dégagé de la cohu, Zac s’arrête, et pose le nain
« Bon bein… » dit-il. Il trouve toujours les mots justes dans les situations critiques…
Il prend son épée, mais la goule les a rattrapé, et les projette au sol. Le nain roule sur le côté. Zac est aux prises avec la goule, mais ces monstres sont puissants. Il tente alors de l’éclater contre le mur, ce qu’il parvient à faire en courant (vous imaginez la scène ? Bien…). A l’autre bout de la rue des miliciens hèlent les protagonistes
« Que faites-vous !? Arrêtez » (c’est qu’ils impressionnent !)
Zac demande alors de l’aide au nain qui a du mal à choisir son camp. Une goule comme « amie » pour zigouiller la chèvre, ça peut être pas mal. Il retire sa hache de la tête de cette dernière, tandis que Zac lui plante son épée cette fois dans le cœur (à la goule). Bruit métallique ; la dague est éjectée par la longue lame et tombe. Le nain a bien réussit à récupérer son arme, mais avec cette dernière est venue la tête du monstre. Il tente alors de couper une tranche de satyre. Bien heureusement, Zac esquive une nouvelle fois l’attaque de cocu. La goule, apparemment toujours aussi vaillante (…) redonne l’assaut. De nouveau, Zac prépare son épée et rate son coup. Fort heureusement, la goule s’empale toute seule comme une grande sur l’arme. « Ha ! Je dois lui mettre le feu », se dit Zac. Il crie au nain de trouver une torche. C’est alors que du coin de l’œil, il voit 2 flammèches fendre l’air. IL a juste le temps d’esquiver les 2 carreaux enflammés que la milice vient de tirer sur la goule. Cette dernière, touchée s’embrase d’un coup et ne laisse place qu’à un tas de cendres.

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Ailleurs, au poste de la milice, Eden se dit qu’il est très content d’être dans une chambre gardé par Boso et Charal. Ne tenant plus, Boso va demander au chef s’il peut interroger le petit (GRRR). Charal reste donc seul avec le farfadet et ses béquilles. Le jour est tombé, et le minotaure se rend compte qu’il tient de nouveau sur ses jambes… Il s’approche alors du captif, tout heureux d’avoir les mains libres et de pouvoir lui faire mal. Fière de ses gambettes, il décide de prendre de l’élan et de lui foncer dessus. Le farfadet, toujours attaché à se chaise décolle sous l’effet de la charge. Charal est en passe d’effectuer un magnifique tir… mais rate tout juste la fenêtre, et le projectile s’écrase contre la parois. Eden tombe le premier au sol, vite rejoint par les restes de la chaise. Il tente de profiter de ce que ses liens soient plus lâches pour s’en défaire, mais n’y parviens pas. Charal se demande s’il a quelque chose à dire, mais ça, on s’en fout un peu.
« Je te remercie d’avoir cassé cette chaise inconfortable » lui lance Eden.
Apparemment, ça fait un moment qu’il n’a pas pris de baffe… « Quelle insolence ! se dit Charal, il se fout de moi !... » Sur ce, il lui tire sur les doigts. Eden tente de mordre son bourreau placide, mais ses dents ne trouvent rien d’autre que sa propre langue. « C’est pas zuste, c’est pas zuste !!! ». Il tente alors le coup de « Argh, je m’étouffe… » Charal rigole. Ca l’arrangerait bien que ce soit vrai !
Boso, de son côté, arrive chez le chef et lui pose sa question.
« Pouvons-nous interroger le prisonnier ?
-Qu’avez-vous découvert sur le groupe que vous espionnez ? lui répond le supérieur
- Hé bien, notre indic a été torturé. Apparemment, ils voulaient des infos. Pagan (l’indic) s’est finalement enfuit. Nous avons plein de pistes. Ils cachent quelque chose.
-Et sur la fameuse équipe de l’auberge ?
-Glou s’intéresse aux vers d’assez près depuis qu’il y a eu le problème des rats dans son auberge.
-Et combien de PO ça a coûté cette filature ?
-Heu…
-Ok, on va arrêter les frais ici. Laissez tomber.
-Et le groupe des aventuriers du 3ème âge
-…
- Bon. On a besoin de vous aux vers. Vous pourriez terminer le boulot.
-Mais Charal est irremplaçable !
-Mais personne n’est irremplaçable !
-Mais si ! »Boso attaque la question sous un autre angle :
« Ecoutez la farfadet prisonnier, en bas est petit. Et vous voyez, ça me pose quelques problèmes… Ca me démange un peu, si vous voyez ce que je veux dire…
-Laissez-le au frais un moment. Et… s’il pouvait s’échapper malencontreusement, et être suivi par mégarde, ça serait une bonne chose. »
Boso redescend. Il ouvre la porte et trouve une pièce dévastée.
« Mais qu’est-ce qui s’est passé ???
-Bah… Charal n’a rien à répondre, mais à l’air tout à fait satisfait…
-On arrête l’enquête sur les aubergistes, trop cher… »
Eden n’en perd pas une miette. Boso s’en rend compte, et Eden prend la baffe qui lui manquait tant. Le farfadet perd connaissance. Boso explique alors la combine que lui a proposée le chef. Eden est certes comateux, mais il entend quand même.
C’est Charal, cette fois-ci qui repère le manège du prisonnier.
« Il a tout entendu
-En même temps, on n’a plus besoin de lui… »
Gloups fait Eden…
« Si on le lâche, il va rejoindre son groupe, et ça ne servira à rien. On peut le torturer méchamment, propose Boso. »
Gloups gloups gloups fait Eden… Les deux gardiens réfléchissent tout haut à un moyen de faire souffrir Eden.
« Ha ! Merde ! » Lâche ce dernier.
Boso va alors chercher une chaise.
« T’arrête de détruire les chaises ! » gronde-t-il au farfadet.
Sur ce, la relève arrive.
« Allez prendre vos quartiers aux vers ! leur dit-elle
-Hé !, on pourrait faire couler de l’acide de vers dessus !dit Boso en regardant malicieusement Eden…
-Onaétépillerunecaveauquartiersombre… La langue d’Eden se libère d’un coup…Mais par rapport aux goules heu oui, mais on ne se souvient pas ; j’ai tiré un coup de pied dans une colonne, j’étais bourré… après, c’est mes coéquipiers qui ont fait le reste…
-Allez arrêter les 3 autres après votre quart ! » lance le chef à l’ogre et au minotaure
Boso et Charal approche du champ de bataille aux vers. Au lieu de 2 miliciens classiques, un groupe de 6 s’affaire à remonter le flot de bestioles pour atteindre le trou. Les 2 compères s’approchent.
« Faudrait leur mettre le feu lâche Boso
-T’as une boîte d’allumettes dans la poche ? demande Charal.
-Bah non… répond l’ogre. Et le souffre, on va le trouver où ?
-On pourrait déjà essayer d’en allumer un avec une torche pour voir propose Charal.
-J’ai des flèches, je vais déchirer un bout de mon pagne (heu… t’es sur ???), on va le mettre autour, l’enflammer et hop ! »
Ha ! Ces héros qui sacrifient leur vêtement pour épargner les stocks de tissus de la ville…Bref, les deux compères officient et… tout prend feu, vers et miliciens compris. Le sol aussi prend feu. Les flammes se rapprochent dangereusement d’eux.
« Vite, il faut s’éloigner, cours ! dit Boso à Charal
-Heu… Charal regarde tristement ses jambes…
-Grimpe sur mon dos ! »
Par chance, Boso est en forme et réussit à enlever le minotaure. Bon, il faut dire que une jambe en moins, ça allège la charge !
Plus loin, Boso dépose son collègue. Près de la fontaine, ils sont hors d’atteinte.
Pendant ce temps, le chef de la milice libère Eden qui part sans demander son reste. Où sont donc passés ses amis ??? Il décide d’aller voir au quartier sombre.
Boso et Charal, rentrent faire leur rapport : « Chef, ça brûle… » Le chef leur dit d’attendre le lendemain pour voir si le feu est toujours aussi vif.

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Gigue, de son côté, se dirige vers les bois, chercher des baies. Chemin faisant, il entend des hurlements de loups. Ses brebis, d’ailleurs se sont arrêtées. Prudemment, il décide de faire demi-tour. Ses brebis acceptent avec plaisir…
Alviérine voit la fumée qui monte de l’ancien centre-ville. Elle va voir et voit… du feu. Il semble ne pas vouloir s’éteindre, mais ne pas s’étendre non plus. Dedans, les vers continuent à arriver… et à brûler.
Charal et Boso se disent qu’il faudrait voir d’où viennent ces foutus vers. Mais pour ça, faudrait éteindre le feu !

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Laissons nos amis à leurs grandes réflexions pour retrouver Philoctète qui se réveille doucement de son coma éthylique. Il se souvient vaguement qu’il avait 2 tonneaux, mais apparemment, ils ne sont plus là…
Glou aperçoit aussi le feu près du fort.
Cadage rentre à l’auberge se laver. Glou l’appelle.
Philoctète aussi est rentré, et prend sa place de videur. D’ailleurs une bagarre éclate entre 2 farfadets que le minotaure saisit pour jeter dehors.
« Fais les payer ! » hurle le nain !.
D’un coup de hallebarde bien placé (y’a pas de petite solution…), le minotaure fait tomber la bourse des petits. Au passage, il en prend 15 PO, et donne le reste à Glou (50 PO, tout de même…) qui décide de le garder au frais pour le rendre à son propriétaire qui ne manquera surement de venir le chercher. L’honnêteté bien placée peut avoir un bon taux d’intérêt !

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Pagan, que l’on n’a pas oublié dans l’histoire, sait bien qu’on lui doit de l’argent pour son travail. Il va donc à la milice réclamer son dû.
« Passez demain. » lui dit le chef.
Pagan n’est pas de cet avis, et compte bien se faire entendre. Le chef se montre très persuasif.
« A demain lui répond Pagan…
-Hep, un service, enquêtez sur le feu ! » Le farfadet s’en va les épaules basses.

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Charal, qui a enfin pu prendre un peu de repos n’arrive pas à dormir. Finalement, il ferme les yeux pour les rouvrir pendant la nuit, se lever, prendre des cendres de ???, les met dans une jarre et se rendort. Enfin, se rendort est un bien grand mot ! S’est-il simplement réveillé ? En tout cas, il ne se souvient de rien !

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Alviérine, alors que les miliciens sont partis, va tenter un sort d’eau dans un coin. L’eau tombe sur une partie de l’incendie et le feu s’éteint… pour 10 minutes. Elle va, alors, voir le tavernier pour savoir si, par son réseau, il n’aurait pas des informations sur des feux qui ne s’éteignent pas. Apparemment, il en a déjà entendu parler, mais la question reste à creuser.

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Gigue est revenu en ville. Il mène ses brebis en lieu sur et décide de retourner vers les hurlements de loups. Tout cela est bien étrange, et après les rats, les vers et les goules, une invasion de loups serait bien la moindre des choses !
Il chemine donc lentement et le plus discrètement possible vers la forêt. Il y aperçoit des loups, bien sûr, mais pas que des loups classiques. Parmi eux s’en trouve un plus grand. Beaucoup plus grand, puisqu’il mesure la taille d’un homme… au garrot. Les bêtes sont très occupées à manger les rats qui pullulent à cet endroit. Gigue se rapproche encore et ne se fait pas repérer, ce qui est plutôt étrange. Il fait demi-tour vers la ville avec plein de questions en tête.

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Revenons vers Zac qui vient de se faire une goule. Les miliciens s’approchent maintenant que le danger est passé.
« Pourquoi vous-êtes vous fait attaquer par une goule ?
-Bah… parce que je passais par là…
-Tiens donc, et pourquoi vous alors ?
-… »
Pas très crédible, le satyre est convié à suivre les miliciens au poste. Le nain est tout près à témoigner… Pas très brillant comme situation. Faisant mine d’obtempérer, Zac prend d’un coup la poudre d’escampette.

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Eden est finalement allé au quartier des érudits. Il ne sait pas quoi faire, et décide de remonter ses finances en détroussant les bonnes gens du coin qui ont de bonnes bourses. En 20 minutes, il rapine 80 PO, ce qui n’est pas mal, vu son état. Le problème des voleurs, c’est de savoir quand s’arrêter et… le farfadet se fait prendre la main dans le sac. Il rend sa pièce au type qui le tient par le bras. Il tente de lui sortir un baratin façon Eden, mais le monsieur en face n’y est pas vraiment sensible. Il tente alors de lui donner une pièce d’or supplémentaire. A un gars qui en possède certainement quelques milliers de fois plus. Non. Il ne veut rien savoir, et ça commence à devenir embêtant.
Il finit par pleurer à moitié, se plaindre ; c’est qu’un pauvre, pauuuuvre qui est pauvre… Le gars le laisse finalement partie moyennant 5 PO.
Eden cherche une auberge pour boire un verre. Au passage, il entend 2 personnes discuter et prononcer son nom. Tiens, tiens… Il se dirige furtivement vers eux en tentant de se cacher derrière un arbre. Comble de malchance, il trébuche sur une racine et tombe à plat ventre devant eux. Il reconnait un milicien (Alfred) qui parle avec un nain. Les deux l’aident à se relever.
« J’espère que vous ne vous êtes pas fait mal monsieur !
-Heu non, ça va. Merci. »
Sans demander son reste, il continue sa route comme si de rien n’étais. Cependant, il a l’œil aux aguets après ce qu’il a entendu de la discussion de ses deux balourds de gardiens. A priori, personne ne le suit. Il décide de chercher Zac. D’après sa connaissance du satyre, c’est plus chez les prostituées du quartier sombre que chez les érudits qu’il le trouvera. Ce qu’il ne sait pas, c’est qu’au même moment, Zac qui venait d’échapper à la milice sent la pointe d’une dague appuyer son dos tandis qu’un baillon lui est mit sans trop lui demander son avis. Deux hommes le transportent dans une pièce.

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Charal et Boso croisent le vieux schyzo qui n’a pas l’air très nette. L’a-t-il seulement déjà été ???
Ce dernier fait une pose chez Glou pour se remettre de ses émotions. Bof, les émotions chez Gigue… Disons qu’il veut s’en jeter un petit. A propos de petit, Glou l’accueille avec plaisir dans sa taverne et le presse de questions qui finissent aux poulpes et espadons.

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Alviérine se réveille et croise son tavernier. Ce dernier doit encore demander des infos à ses amis…

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Eden arrive chez ses contacts du quartier sombre. Ces derniers sont en train de cuisiner un satyre… Zac !
« Qu’est-ce que tu fais là ?!
-Et toi ? Qu’est-ce qui s’est passé ?
-J’étais à la poursuite du farfadet…
-Tu devais pas le garder ??
-Heu… je sais où il est !
-Ha ?
-Bah… à la milice. »
Un collègue rappelle à Eden que Zac ne doit pas savoir où il est actuellement.
« Désolé ma biquette, ‘faut que je te bande les yeux. »
Après un long cheminement, le groupe se retrouve dans la rue principale où l’on enlève le bandeau des yeux du Satyre. Enfin la lumière… et le nain jaloux ! Mais il n’abandonnera jamais ! Le groupe se sauve en courant et sort de la ville. Que faire ? Il faut pourtant bien aller voir sa mégère au p’tit cocu. Une idée serait de courir chez lui, alors qu’il cherche le satyre dans les rues. Le problème, c’est qu’ils doivent passer devant le quartier sombre, et que le nain y est. De toute façon, il doit être partout ce nain ! Il faut alors camoufler les sabots du satyre. Zac se déguise donc… en arbre, ce qui est certainement très judicieux, mais laissons ce débat pour une autre fois. C’est donc un arbre avec un farfadet caché derrière qui font leur entrée dans la ville. Ils arrivent à hauteur du nain, mais étrangement, il les reconnaît, et sort sa hache en tirant un rictus sardonique. Eden tente de faire diversion. Il charge le coupeur de bois et lance un sort qui se veut être le cri d’un lion en colère. Ce n’est que celui d’un chat qui sort. Ca a l’avantage de déconcentrer le nain qui s’écroule de rire. Eden tente de l’assommer avec son arme. Le nain encaisse et se stabilise, mais Zac a réussit à s’enfuir. Et que fait Eden ? Bah il le suit. Au bout d’un moment, il décide quand même de prendre une autre route.
Arrivé chez la naine frivole, Zac défonce la porte. C’est beaucoup plus rapide ! Ses poursuivants arrivent juste après. Le nain ne voit plus que son objectif et oublie Eden qu’il va dépasser. Ce dernier tente un croche-pied. Le nain l’évite, et arme son coup pour qu’il fasse très très mal ! Zac esquive mais s’étale au pied de l’escalier. L’arme finit plantée dans le chambranle de la porte. Le satyre veut en profiter, mais d’un coup sec, le nain parvient à récupérer sa hache. Hè ! Hè ! Hè ! Eden est derrière. Il sait que le nain est la proie de sa colère. Il sort alors discrètement la dague et lui coupe le tendon d’Achille. Ou tout du moins essaie. Zac veut bloquer la hache avec son épée qui finit plantée dans la porte. Le nain charge. Le satyre saute alors au dessus de son agresseur et tombe sur Eden. Le nain se retourne, et, vif comme l’éclair tape. Eden esquive. Le nain, déséquilibré est furieux. Le farfadet se sauve. La hache effleure le cuir chevelu de Zac qui répond par un croche-pied. Le nain tombe contre le sabot et est tué sur le coup. Ouf !
Zac reprend ses esprits, mais il a oublié la femme. Voyant son mari étendu par terre, elle hurle et charge. C’est costaud une naine ! Le satyre est emmené jusque dans la maison et a le souffle coupé. Il parvient quand même à mettre son ancienne maitresse au sol et essai de lui enlever ses habits pour vérifier si elle a été contaminée ou non. En réponse, il ramasse un joli coup de poing. Les naines ne connaissent pas les baffes !
Eden revient car le mari semble n’être plus dangereux. Il lui prend sa hache. Il entre discrètement dans la maison pour aider son ami, mais se fait repérer ; l’arme qu’il avait subtilisé et mis à la sauvette dans son sac tombe lourdement au sol. Il sort sa dague. La naine se réfugie dans la pièce d’à côté et crie. Aïe !
Vite, il faut la maîtriser. Un couteau traverse la pièce où se trouvent les deux mâles, et assomme Eden (la manche…ouf !). Ce dernier tombe sur Zac. La femme, enhardie s’approche avec un autre couteau. Zac baratine, alors, lui racontant le problème des goules etc. La femme s’effondre en pleures. Elle lui montre son ventre. Non, ce n’est pas une goule. La naine accepte, en plus de laisser Zac dormir en échange d’aide en cuisine… La pauvre, elle à tourné ! Quel gâchis ! C’est alors qu’on frappe à la porte. Oups, par où est-ce qu’on s’enfuit ? Vite, ils sautent par la fenêtre et courent vers le chantier de bûcherons.
Il faut se cacher quelques temps et faire des déguisements. Eden se verrait bien en mousse sur les arbres. Il n’y a pas que la naine que cette histoire a retournée !
Les miliciens se font encercler par les loups. Eden s’en va… et s’en fout. Zac reste ; il lui reste la fille du baron à vérifier.

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Boso et Charal vont voir le chef de la milice. Le feu est toujours aussi vif. Il faut alors aller chercher des seaux. Les miliciens se mettent à l’œuvre, mais ça n’a aucun effet. Alfred décide d’aller faire un rapport.
Le minotaure décide d’invoquer un démon pour lui demander de surveiller Glou et son équipe. Ces derniers veulent savoir ce qui se passe…

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Alviérine trouve Gigue en train de manger de la laine… Après avoir retrouvé ses esprits, ce dernier lui raconte l’histoire des loups.

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Et voici le temps de laisser vos esprits se reposer. Elucidera-t-on le mystère qui règne sur la ville ? Zac finira-t-il par résoudre le problème des goules dont il fut le principal vecteur ? Les miliciens reprendront-ils en main les choses ? Alviérine et ses compagnons comprendront-ils enfin dans quelle histoire ils ont été embarqués ?
Peut-être le saurez-vous la prochaine fois, peut-être jamais….
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